AVOIR LE CHOIX POUR FAIRE LE BON CHOIX

Passer à l’action est le meilleur moyen de prendre confiance et de créer sa chance pour trouver son partenaire. En savoir plus »

  • 00:00 Avoir le choix pour faire le bon choix
  • 03:38 Le témoignage de Laure et Patrick - Leur profils sur DisonsDemain
  • 07:10 Allez plus loin que ses critères
  • 08:48 Pour faire le bon choix, il faut avoir des choix
  • 10:12 Faire un profil authentique
  • 10:30 Comment demander une photo récente ?
  • 11:02 Comment se mettre en valeur sur sa description ?
  • 11:20 Comment bien indiquer son intention ?
  • 12:30 Comment ne pas rater le premier contact ?
  • 14:15 Dépasser la peur de mal faire
  • 16:59 Comment faire si je n'ai pas envie de donner mon numéro de téléphone tout de suite ?
  • 17:49 Comment gérer le ghosting ?
  • 19:32 Quel est le bon niveau de prise d'initiative ?
  • 20:52 Comment se présenter au premier rendez-vous ?
  • 21:44 Comment faire pour qu'un échange sur le site devienne une vraie rencontre ?
  • 22:25 Comment indiquer que l'on a besoin de temps avant d'être intime ?
  • 23:23 Comment se détacher d'une relation qui fait souffrir ?
  • 24:17 Comment trouver sa place dans la vie de l'autre ?
  • 26:18 Faut-il laisser tomber un amour naissant à cause d'un passé trop présent ?
  • 28:24 Ce qu'il faut retenir
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Hélène Frébault, 46 ans, coach de vie amoureuse, accompagne des hommes et des femmes célibataires dans leur recherche d’une relation durable et épanouissante. Diplômée de l’ESSEC et coach certifiée, elle a longtemps exercé dans les relations humaines en entreprise.
Transcript de la vidéo

Avoir le choix pour faire le bon choix

Valérie : Alors, avoir le choix pour faire le bon choix, c'est vrai que ça faisait un peu « supermarché » comme titre.

Hélène : Oui, c'est volontairement un petit peu provocateur parce qu'on va s'attaquer encore à une autre croyance de l'amour, qui est qu'on n'a pas le choix.
Quand on a une émotion, il faut y aller.
L'amour, c'est rare, donc dès qu'on a une occasion, il ne faut pas la louper.
C'est surtout rare parce qu'on ne se donne pas assez de choix.
Or, on a quand même toujours le choix.
Si vous avez, on va dire, une rencontre qui se présente mal, vous voyez que vous n'êtes pas bien dans la relation, mais que comme vous n'avez pas souvent de relation amoureuse, vous vous dites : « Il faut que j'y aille quand même parce que c'est mon destin. »
Vous allez faire un mauvais choix.

Si vous avez l'impression que vous avez le choix, vous allez pouvoir faire des bons choix.
Avoir le choix, même si vous ne le voyez pas, vous l'avez toujours, au moins, celui de continuer ou d'arrêter.
Mais, c'est plus facile si vous vous dites : « Si ce n'est pas cette personne-là, ce n'est pas grave, je peux en trouver d'autres. »
C'est là où le site peut vous aider parce que vous vous rappelez qu'il y a d'autres personnes que vous pouvez rencontrer.
Souvent, on a l'impression de ne pas avoir de choix, surtout parce que dans sa vie, dans sa propre expérience, dans sa vie amoureuse de tous les jours, on n'a pas beaucoup d'occasions.

Donc, les occasions, ça se crée.

Valérie : Vous en avez plus.
Là, vous en avez plus sur le site.
En fait, vous avez un éventail assez important et puis d'aller, de discuter avec plusieurs personnes.
C'est l'avantage, qu'on disait dans la première partie, de pouvoir avancer en discutant.
C'est presque même plus simple que dans la vraie vie, finalement.

Hélène : Oui, tout à fait.
Puis, c'est vrai que ce mythe de la rareté, il est un peu aussi nourri par ce qu'on fait dans la vraie vie.
Quand on est célibataire, on ne l'affiche pas trop et on ne voit pas qu'il y a d'autres célibataires dans la vraie vie.

Sur Paris, on sait que la moitié des gens sont célibataires ou séparés ou divorcés.
Vous imaginez, vous allez dans la rue, vous pouvez prendre un échantillon au hasard, il y a la moitié des gens qui sont célibataires.
Est-ce que ça se voit ?
Non.

Donc, vous avez l'impression qu'il n'y en a pas.

Valérie : Puis, vous dites qu'il faut être patient.

Hélène : Oui, tout à fait.

Valérie : Il faut être patient, il faut…
Pour avoir le choix, quand on va dans une brocante, on est…
Je reprends la métaphore, on se promène, on regarde, on revient, on prend le temps.

Hélène : Exactement, il faut prendre le temps.
Déjà, de prendre le temps, ça permet d'être à votre rythme.

Alors, c'est vrai que dans un site de rencontre comme DisonsDemain, on a l'impression qu'il faudrait qu'on ait la réponse tout de suite.
Je regarde le profil, est-ce que je vais trouver tout de suite la personne qui me correspond ?
J'ai une conversation, est-ce que ça va aller jusqu'au premier rendez-vous ?
Le premier rendez-vous, est-ce qu'on se revoit tout de suite ?

Ce ne sont pas des réponses en « oui/non ».
La vie, c'est flou ; l'amour, c'est flou.
Puis, comme je vous le dis, la chance aime bien s'amuser un petit peu avec vous aussi, elle dit : « Ok, tu veux t'amuser ? Allons-y, on va aller voir un peu ce qui se passe. »

Il faut vraiment retrouver ça, se dire : « Je pars à l'aventure, finalement. Je vais laisser la place à la surprise, parce que c'est là où il va se passer des belles choses. »

Valérie : On va vous poser une nouvelle question : est-ce que vous savez dès les cinq premières minutes de la rencontre si une personne vous plait ou pas ?
C'est-à-dire, est-ce que vous allez très vite, instinctivement, vous dites : « Ça, je sais que ce n'est pas pour moi » ?
On attend vos réponses sur le site.
Vous me répondez oui ou non, puis on va passer à la deuxième partie du témoignage de notre couple invité ce soir, Laure et Patrick.
Vous allez voir qu'il ne faut pas se fier aux apparences.

Hélène : Tout à fait.

Le témoignage de Laure et Patrick - Leur profils sur DisonsDemain

Depuis combien de temps étiez-vous sur le dite avant de vous rencontrer ?

Patrick : Je suis resté six mois sur le site et j'allais arrêter.

Laure : Alors moi, très peu.
Ça faisait trois semaines quand Patrick m'a envoyé son premier mot, mais de toute façon, on s'est répondus en décalé, jamais franchement en direct, au début.

Comment était vos profils ?

Patrick : Une photo mystère en noir et blanc, on me voyait à peine.
Et le détail, il n'y avait pas de détails en fait.

Laure : Je rajouterais que c'était même une photo assez nulle parce qu'on ne le voyait que de profil, étalé dans son canapé.
Franchement, sa photo, ça ne collait pas.

Patrick : C'était fait exprès, c'était pour des raisons professionnelles.

Laure : Voilà, mystérieux.
Et moi, la photo ?

Patrick : La sélection du jour.

Laure : La sélection du jour.
Une photo, j'ai les cheveux rouges.
C'est probablement ce qui a fait que je me suis retrouvée première de la sélection du jour, au milieu des blondes et des brunes.

Patrick : Voilà, c'est ça.

Laure : Avec toi, ça a collé.

Patrick : Voilà.
La description, c'était assez ressemblant.

Laure : La description, toi, ce qui m'a arrêtée, c'était le fait qu'il faut donner ses qualités et ses défauts.
J'ai trouvé que sa description m'interpellait parce qu'il avait mis que le meilleur n'était pas dans la liste.
Donc, ce qui laissait tout à découvrir et en l'occurence, j'avais mis quoi ?
Tu te rappelles ou pas ?

Patrick : Atypique.

Laure : Voilà, atypique.
Finalement, on allait dans le même sens en le marquant différemment.

Patrick : Voilà.

Laure : Voilà.

Est-ce qu'il/elle correspondait à vos critères ?

Laure : Est-ce que je correspondais à tes critères ?

Patrick : Par rapport au site, pas forcément, mais après, on a beaucoup discuté et c'est ce qui a fait que…

Laure : Par rapport à ta première recherche, je ne correspondais pas ?

Patrick : Si, dans la tranche d'âge.

Laure : C'est déjà pas mal.
Alors moi, tu ne correspondais pas du tout.
Je te l'ai dit assez rapidement.
Mais, ce qui a fait que je me suis intéressée, c'est que tu as remarqué que tu avais habité à côté de chez moi dans le temps et j'ai cru qu'on pouvait avoir vraiment des points communs, donc j'ai vu surtout un ami en premier et puis, plus si affinités.
Normalement, c'était ça.
Mais, physiquement, tu ne correspondais pas du tout.
Géographiquement, pas du tout non plus, c'était un peu le hasard.

Patrick : Oui.

Laure : Voilà.

Qu'est-ce qui vous a plu sur le profil de l'un et de l'autre ?

Patrick : La couleur des cheveux.

Laure : La couleur des cheveux.
Tu m'as également demandé s'ils étaient longs.

Patrick : Oui.

Laure : Voilà.
S'ils étaient vraiment longs.

Patrick : Oui, c'était un critère dans ma recherche, les cheveux longs.

Laure : Voilà.
Tu ne l'avais pas marqué, mais c'était un de tes critères.

Patrick : Oui.

Laure : Une femme à cheveux longs.

Patrick : Voilà.

Laure : J'ai eu du bol alors.
Mon critère de recherche, c'était d'avoir quelqu'un avec qui j'allais retrouver de la complicité, de la simplicité dans les petits bonheurs de tous les jours, après beaucoup d'épreuves.

Aviez-vous des centres d'intérêts communs ?

Patrick : Oui.
On aime bien aller se balader tous les deux, main dans la main.

Laure : Oui, ça c'est un critère.

Patrick : On aime bien manger.

Laure : On aime bien s'amuser.

Patrick : On aime bien s'amuser.

Laure : Profiter des bons moments.

Patrick : Voilà.
On raconte des blagues nulles de vieux.

Laure : Voilà.
On aime bien se moquer de nos enfants.

Patrick : Voilà.

Laure : Voilà.
Les taquiner.
Ça, c'est un…

Patrick : C'est un jeu.

Allez plus loin que ses critères

Valérie : Comme quoi Hélène, on voit que les critères ne sont pas forcément ceux qu'on s'était mis au départ.

Hélène : Non, tout à fait, ce n'est pas forcément pertinent et il faut laisser la porte à quelque chose d'étonnant.
Finalement, un lien même des fois ténu, ça se joue à pas grand-chose.
Puis, vous voyez que quelquefois, le profil n'est pas totalement optimal, mais si au moins, un des deux a la curiosité d'aller voir ce qui se passe, il peut toujours se passer quelque chose.

Valérie : Oui et puis, on voit que l'humour est très présent dans leur couple évidemment.

Hélène : Oui, parce que l'humour, c'est ça.
C'est le jeu, c'est le jeu du flirt, c'est la légèreté dont on parlait tout à l'heure.
C'est ça qui les fait renouer avec le plaisir d'aller découvrir une personne et puis souvent, justement, ça permet d'évacuer toutes les émotions, un petit peu la gêne, la peur, etc.
On arrive à retourner ça en une émotion positive.

Valérie : La première impression n'est pas toujours la bonne.

Hélène : Ça, c'est sûr.
Merci Laure pour ce témoignage très franc parce qu'en fait, voilà.
Puis, elle a été 100 % authentique, on va y revenir là-dessus.

Valérie : Lui dit, si vous avez remarqué, que ça faisait six mois, donc je repense à notre participante qui disait : « Ça fait six mois et il n'y a personne. »
Lui, il allait partir et puis, c'est arrivé.

Hélène : Oui, c'est ça.
Mais, peut-être que c'est aussi parce que c'est le moment où il a dit : « Bon, on y va ».
Il a un petit peu lâché les critères aussi.
En vrai, il n'y en avait pas tant que ça, il s'est juste laissé aller à discuter avec quelqu'un qui avait l'air sympathique et puis voilà.

Pour faire le bon choix, il faut avoir des choix

Valérie :Comment on se crée des choix justement ?
Vous dites : « Pour faire le bon choix, il faut avoir des choix. »
Qu'est-ce qu'il faut faire ?
Il faut aller souvent sur le site ?

Hélène : Oui, ce qui est bien, c'est quand même…
Vous voyez qu'il n'y a pas besoin forcément d'être parfait dans sa recherche.
Le plus important, c'est de faire des actions déjà parce que c'est ça qui va changer le résultat.
Finalement, c'est que vous alliez vous mettre en visibilité, vous preniez le risque de discuter avec des gens, de faire des actions et de voir ce que ça donne.

L'idéal, c'est quand même d'être un petit peu régulier parce que forcément, si vous envoyez un message, que vous répondez une semaine après, ça va un petit peu refroidir la dynamique de la conversation.

L'idée aussi, on nous pose souvent la question : « Est-ce que je dois parler à plusieurs personnes ? »
Oui, ce sont des conversations et comme vous voyez, la conversation peut aboutir ou ne pas aboutir, ça peut s'arrêter n'importe quand, donc ce n'est pas encore une relation, vous ne faites rien de mal, ne mettez pas de l'exclusivité là où ce n'est pas nécessaire.

Valérie : Pas trop d'enjeux non plus sur la…

Hélène : Pas trop d'enjeux, bien sûr.
L'idée, c'est aussi d'être authentique, vous n'avez pas besoin de faire semblant ou d'essayer de plaire à tout prix, voilà.
Le mieux, c'est quand même d'arriver justement… Vous voulez trouver une personne avec qui vous vous sentez bien et vous pouvez être relativement naturel.
Ce n'est pas facile de le faire avec quelqu'un qu'on ne connaît pas bien, mais finalement, plus vous êtes naturel le plus souvent possible, plus vous avez de chances de trouver une personne à qui ça va vraiment parler.

Faire un profil authentique

Valérie : On va passer vite aux questions parce qu'il nous reste à peine sept minutes, on a passé beaucoup de temps sur la première partie.

Christine, je pense, elle a 66 ans : « Je pense ne pas savoir me mettre en valeur sur ma description. Doit-on être soi-même ? »
Vous avez déjà plus ou moins répondu.

« Que pensez-vous des profils qui proposent une photo qui ne correspond pas à la réalité ? »
Ça aussi…

Hélène : L'authenticité.

Valérie : L'authenticité.

Comment demander une photo récente ?

Valérie : « Comment exiger une photo de l'année ? »

Hélène : Exiger, ce n'est peut-être pas, vous voyez, ce n'est pas la bonne énergie.
En revanche, vous pouvez vous amuser avec ça.
Vous voulez une nouvelle photo, vous envoyez…
On va être plus enclin à envoyer une photo à quelqu'un avec qui on discute de façon privée plutôt que de la mettre sur le site.
Dès que vous commencez la conversation sur le téléphone, n'hésitez pas, vous, à envoyer une photo.
Si finalement, vous voulez quelque chose, commencez par donner et vous recevrez.

Vous dites, vous envoyé une photo, dites : « Voilà une photo de moi aujourd'hui, envoie-m'en une aussi. »
Comme ça, vous aurez une photo toute fraîche.

Comment se mettre en valeur sur sa description ?

Valérie : Comment se mettre en valeur sur sa description ? Être authentique, ça vous l'avez plus ou moins dit déjà.

Hélène : Il faut que ça vous ressemble, donc n'hésitez pas, peut-être même à demander.
Je sais que souvent, on fait son profil tout seul ou toute seule dans son coin, n'hésitez pas à demander à quelqu'un : « Est-ce que ça me ressemble vraiment ? »
Parce qu'en fait, on ne se voit pas, donc au moins, ça permet d'avoir un regard extérieur.

Comment bien indiquer son intention ?

Valérie : Laurent, il a 55 ans : « Faire des rencontres ou relation sérieuse, c'est mal perçu par les femmes. »
C'est l'inverse de ce que nous disait tout à l'heure une femme justement.
« Pourtant, avant d'envisager une relation sérieuse, il faut bien faire des rencontres, mais faire des rencontres est mal perçu dans les profils par les femmes. »

Hélène : Oui, mais je pense que c'est parce que quand on s'inscrit sur le site, on peut mettre son intention et il y a « relation sérieuse » ou « faire des rencontres » et on peut choisir entre les deux.

Effectivement, ce que Laurent est en train de nous dire, si je mets « faire des rencontres », c'est mal perçu parce qu'on a l'impression que je ne suis pas sérieux.
Oui, bien sûr, vous allez peut-être faire plusieurs rencontres, mais quand la personne que vous voulez rencontrer, quand elle lit votre profil, elle aimerait bien avoir l'impression qu'elle est la seule à le lire.
Donc, elle ne veut pas voir « je veux faire des rencontres », elle a envie de voir « je veux te rencontrer, toi ».
Finalement, c'est ça le message.
Simplement, dites, écrivez votre profil comme si vous vous adressiez directement à cette personne-là, celle que vous voulez rencontrer.
C'est finalement peut-être la meilleure façon de faire un bon profil.

Vous vous dites : « Je parle à quelqu'un », plutôt de me dire : « Je parle à la terre entière sur le site. »

Comment ne pas rater le premier contact ?

Valérie : Beaucoup de questions.
Elisabeth, 62 ans : « Je voudrais avoir un message pour aborder un profil qui me plait, un message type. »
Marseillais, il a 56 ans et dit : « Pouvez-vous me donner des exemples de messages qui font qu'une femme ait envie de me répondre ? »
Eric, 52 ans : « Comment accrocher une personne au premier message ? Comment ne pas rater le premier contact ? »
Catherine, enfin, on en a énormément sur ce premier contact.

On a envie de dire : « Cool, cool. »

Hélène : Oui, justement, il n'y a pas beaucoup d'enjeux à part commencer une conversation.
Oui, vous n'avez jamais de garantie.
Il y a une chose que vous ne pouvez pas faire, dans provoquer son destin, c'est forcer le destin.
Il y a quand même une autre personne en face, vous ne savez pas comment votre message tombe, donc il y a toujours un risque qu'elle ne réponde pas, même si vous mettez la meilleure volonté du monde et que vous envoyez le meilleur message du monde.

Néanmoins, il y a des choses qui marchent mieux que d'autres.
Là, vous voyez par exemple, Patrick avait commencé avec un message sur la proximité géographique.
C'était une façon comme une autre de créer un premier lien.
Déjà, ça montre qu'il a lu le profil.

Valérie : Oui, c'est ça, tu habites où ? Tu viens d'où ?

Hélène : Plus que ça, il a dit quelque chose de spécifique sur le fait qu'il avait habité au même endroit, donc ça veut dire qu'il a lu le profil.
Déjà, c'est important.
Mettez quelque chose qui est en rapport avec ce que vous avez lu dans le profil.
Ça prouve que vous l'avez lu déjà, donc c'est plutôt toujours bien.
Mettez quelque chose qui est…

Valérie : Qui accroche.

Hélène : Qui est personnel.

Valérie : Je vois, tout à l'heure Laure, elle disait qu'elle avait mis « atypique ». Tu es atypique, qu'est ce que ça veut dire ?
Demandez une explication, peut-être que ça peut être ce qui engage une conversation.

Hélène : Le profil n'est pas là pour tout dire, mais juste pour donner une accroche pour commencer la conversation.
C'est ça l'idée, n'essayez pas de trouver quelque chose de compliqué et essayez de trouver quelque chose surtout qui vous ressemble, mais juste un.
Même une petite chose peut suffire, vous n'avez pas besoin de raconter toute votre vie.

Dépasser la peur de mal faire

Valérie : Il y a beaucoup de peur, beaucoup de peur de mal faire aussi.

Benoît, il a 52 ans, il dit : « Quelle posture adopter pour commencer un tchat sans paraître être un chasseur ? J'ai ce sentiment, mais surtout démarrer une discussion en ligne. »
Benoît, pareil, 55 ans : « Comment s'engager au premier contact ? Trop ou pas assez, je m'éparpille, je suis bavard, j'aime l'humour pour détendre l'atmosphère, mais si ça ne vient pas, comment on fait ?Quelle est la meilleure méthode ? »
Lui, il dit : « Les hommes sont de Mars et les femmes de Vénus. »

Pas tant que ça toujours, mais on voit qu'il y a beaucoup d'angoisse sur ce premier contact avec beaucoup de pression, beaucoup d'enjeux.

Hélène : Oui, bien sûr.
Encore une fois, on ne vous demande pas de réussir du premier coup.

Vous êtes surtout là pour commencer à vous tester un petit peu, de voir un petit peu comment vous vous comportez, puis quelles sont les réponses que vous avez de l'autre côté.
Justement, ça vous permet d'ajuster.

On a dit provoquer son destin, on le dit toujours, mais ne pas forcer son destin.
Il faut quand même être à l'écoute de l'autre personne.
Je comprends que vous vouliez commencer par un tchat parce que ça va être plus direct et oui, vous allez pouvoir discuter avec la personne en direct, simplement, vous avez affaire à une femme.
Une femme va vouloir avoir quelques éléments pour assurer sa sécurité en se disant : « Je voudrais d'abord avoir quelques échanges en message plutôt que de commencer tout de suite par une vidéo. »

La plupart des femmes, peut-être que certaines, peut-être que vous allez en trouver de temps en temps qui vont être d'accord, mais c'est un petit peu normal.
En tout cas, vous pouvez toujours suggérer.
Vous demandez la permission finalement et puis, vous vous adaptez si la personne vous dit : « Ok, c'est bon. »

Si elle vous dit…

Valérie : « J'ai besoin de temps. »

Hélène : Voilà, « j'ai besoin de temps », adaptez-vous. « D'accord, on continue à discuter. »
Ne prenez pas forcément la réponse mal.

Donc pour Benoît, le deuxième Benoît.
Si on s'éparpille, qu'on est trop bavard et qu'on aime l'humour, il n'y a pas de problème.
Simplement, c'est toujours pareil.
Il faut tenir compte aussi que vous êtes dans une interaction.
Donc, vous êtes deux.
Il faut être un petit peu plus à l'écoute de l'autre aussi.
Peut-être que ça fait un peu trop.

Valérie : Mais, peut-être qu'il peut trouver aussi une femme qui aime bien ce côté-là.

Hélène : Ça fait partie de son charme.
De toute façon, ça va se voir au bout d'un moment, mais peut-être que dans le premier contact, ça fait un peu beaucoup dans des messages.
Souvent, en fait, quand on me dit ça, je vois ce qui se passe en vrai, c'est que vous envoyez des messages un petit peu longs, par exemple, ou vous envoyez beaucoup de choses.
Pour une personne qui ne vous connaît pas du tout, recevant un gros pavé, il se dit : « Oh là là, il va falloir que j'en écrive tout autant. »
Donc là, ça fait trop.
Donc, quelquefois, ça va être plus simple d'arrêter de discuter que de vous répondre.
C'est un peu dommage.
Sachez doser un petit peu.

Comment faire si je n'ai pas envie de donner mon numéro de téléphone tout de suite ?

Valérie : « Pourquoi je ne trouve pas si facile que ça d'entrer en contact réel et vrai avec les personnes qui m'écrivent ? Parfois, je sens le besoin qu'il n'y a pas d'urgence à donner son numéro de téléphone. J'ai envie de prendre le temps. »
Ça rejoint un petit peu ce qu'on disait.
« Mais, certains ont l'air de s'impatienter, ça me met mal à l'aise. Je ne veux pas donner mon numéro de téléphone à tout le monde. »

Il y a des outils sur le site justement qui vous permettent de dialoguer sans donner votre numéro.

Hélène : Voilà, c'est ça.
Effectivement, comme je disais tout à l'heure, le numéro de téléphone, ce n'est pas si précieux que ça.
À un moment donné, ça va permettre à la personne d'avoir un contact direct avec vous et de ne pas être obligé de se reconnecter sur le site à chaque fois pour vous parler.
C'est surtout ça.

Néanmoins, si vous voulez, vous avez le droit de dire que c'est un peu tôt pour vous, il n'y a pas de problème.
Vous pouvez utiliser les autres outils qui sont sur le site.
Vous pouvez envoyer, vous pouvez faire une visio ou un audio call ou voilà, et vous n'avez pas besoin de donner votre numéro, vous restez sur le site.

Comment gérer le ghosting ?

Valérie :Il y a toute la question du ghosting.

Expression, c'est une femme, elle a 60 ans : « Toutes les ébauches de discussion se terminent sans autre avancée. »
Christian, 62 ans : « Pourquoi les femmes décident tout d'un coup d'arrêter de communiquer par message sans prévenir ? »
Corinne, 57 ans : « Je souhaite que vous abordiez le problème du ghosting, quasi 100 % des hommes le pratiquent. »
Et Patricia, femme : « Les personnes vous like, envoient un bonjour et puis, après, plus rien. »
Ghosting, c'est effectivement quand il n'y a plus de réponses.

Hélène : C'est-à-dire, en général, on a commencé une conversation, puis tout d'un coup, ça s'arrête, on ne sait pas pourquoi.
C'est-à-dire, c'est en mode fantôme, hop, la personne disparaît sans laisser de traces.

On voit bien, déjà, on peut dire une chose, c'est que c'est un partout, balle au centre.
Il y a du ghosting des deux côtés.

Le ghosting, on va dire que ça fait un petit peu partie de l'exercice.
Vous êtes avec des gens qui sont derrière leur écran.
Vous ne savez pas quel est le niveau de motivation.
Vous n'avez pas assez d'éléments pour juger ce qui se passe de l'autre côté.
Il ne faut pas le prendre trop personnellement.
Vous avez peut-être, vous aussi, arrêté de parler à quelqu'un parce que vous n'étiez pas motivé.
Ça peut arriver à tout le monde, finalement, de mettre fin à une conversation d'une manière pas très polie.
Il ne faut pas trop juger non plus.

Valérie : On peut comprendre qu'on puisse le prendre pour soi, qu'on se dit : « Je suis nul, je ne plais pas, etc. »
Visiblement, je trouve que ces LiveCoaching sont bien pour ça.
C'est qu'on vous montre que vous n'êtes pas seul à vivre ça.

Hélène : Voilà, se faire ghoster, ça arrive à tout le monde.

Valérie : Bien sûr.

Hélène : Rassurez-vous, même ceux qui ont très confiance en eux ou ceux qui savent très bien discuter sur la plateforme.

Quel est le bon niveau de prise d'initiative ?

Valérie : Danielle, elle a 60 ans, elle dit : « Provoquer le destin, ça peut faire fuir ou rester passive n'est pas très attirant. »
Elle est un peu perdue quand un homme peut lui plaire.
Elle dit : « On s'est liké plusieurs fois, quelques mots et puis, je n'ai pas accepté trop vite la demande de week-end en amoureux. L'ai-je perdu définitivement ? Je l'apprécie, mais déçue de nos échanges. »

Hélène : Oui, alors là, déjà, on voit qu'elle se réfère à un cas en particulier, mais elle a tendance à en faire une généralité en se disant : « C'est peut-être parce que j'ai été trop à l'initiative ou peut-être parce que je n'ai pas été assez passive. "
Enfin, on ne sait pas trop.
Alors, encore une fois, il faut que les deux soient à l'écoute.

Valérie : Il faut que ce soit, oui, qu'il y ait…

Hélène : Il n'y a eu qu'un ou deux mots d'échangés…

Valérie : C'était peut-être un peu tôt pour un week-end.

Hélène : Et qu'il propose un week-end en amoureux, ce n'est pas très pertinent.
Donc, elle a eu bien raison de dire non.
Simplement, après, pour elle, la question c'est : « Comment je fais pour le rattraper ? »

Valérie : Eh bien, peut-être pas.

Hélène : Peut-être pas.
Ça ne vaut peut-être pas le coup.

De toute façon, c'est un indice aussi.
Si la personne s'intéresse vraiment à vous, elle va quand même tenir compte de votre rythme.

Valérie : Bien sûr.

Hélène : Proposer un week-end en amoureux à quelqu'un qu'on ne connaît pas, quelle est l'intention derrière ?

Valérie : On pose la question.

Hélène : Voilà, on laisse la question en suspens.

Comment se présenter au premier rendez-vous ?

Valérie : Claire, elle a 67 ans, elle dit : « Comment se présenter au premier rendez-vous ? Qu'est-ce qu'on dit ? Quel est le meilleur endroit pour se retrouver ? »

Hélène : Encore une fois, l'idée, c'est de passer un bon moment avec une personne qu'on ne connaît pas.
Le plus important, c'est de se connecter au plaisir avant d'aller au rendez-vous parce que c'est ça qui va donner la meilleure atmosphère et qui va vous permettre, vous, de montrer quelle personne vous êtes, et puis, à l'autre personne aussi, de montrer qui elle est.

Déjà, ne vous mettez pas trop d'enjeux.
Encore une fois, même au premier rendez-vous, vous n'êtes encore toujours pas en train de choisir l'homme ou la femme de votre vie.
Vous êtes juste en train de rencontrer, d'essayer de découvrir un peu plus une personne avec qui vous avez bien discuté.
Vous avez le droit de dire oui ou non et de ne pas aller plus loin ou peut-être de vous dire : « Je ne suis pas sûr et on se reverra. »

Il n'y a pas d'autres enjeux que de passer un bon moment.
Ce n'est pas un entretien d'embauche.

Comment faire pour qu'un échange sur le site devienne une vraie rencontre ?

Valérie : « Comment faire pour qu'un échange sur le site devienne une vraie rencontre ? » , demande Valérie, elle a 54 ans.
Il faut le demander, non ?
Il faut le provoquer ?

Hélène : Oui.
De toute façon, si vous trouvez que ça tarde un petit peu pour passer à la vraie rencontre, alors bien sûr, on est là pour faire des vraies rencontres, pas pour discuter pendant des semaines.
Si à un moment, vous trouvez que ça met un peu plus longtemps, suggérez-le, puis, vous verrez bien quelle est la réponse.
Parce que, finalement, je vous rappelle qu'une personne qui s'intéresse à vous voudra passer du vrai temps avec vous, pas discuter sans fin.
Si elle ne veut pas passer du vrai temps avec vous, il faut se poser la question de son intérêt ou de sa motivation à parler avec vous.

Comment indiquer que l'on a besoin de temps avant d'être intime ?

Valérie : Après la rencontre, Camille, elle a 54 ans : « Je préfère ne pas accepter de passer rapidement à l'acte alors qu'on ne se connaît pas encore très bien, mais voilà. Mais, les hommes ont toujours du mal à le comprendre, notamment pour les rencontres sur Internet. »

Hélène : Soyons très clairs, Internet ou pas, vous continuez à faire comme vous feriez dans la vraie vie.
C'est votre vie amoureuse, ça ne change rien.
Que vous soyez sur un outil Internet, ça ne donne pas une idée de la vitesse à laquelle on doit aller.
Si quelqu'un ne comprend pas que vous avez besoin de temps, ça veut juste dire une chose, c'est qu'il n'est pas pour vous.
C'est tout.

C'est là où c'est important d'avoir le choix parce que c'est toujours difficile s'il y a une personne qui vous plaît, de lui dire non et de vous dire : « Oui, du coup, peut-être que je vais le perdre. »
Oui, mais en fait, si c'est la bonne personne, vous n'allez pas le perdre pour ça.

Valérie : Parce qu'il attendra et il écoute.

Hélène : Surtout, il sait que vous êtes attirée par lui, il sait qu'il a sa chance.
C'est tout ce dont il a besoin pour attendre.

Comment se détacher d'une relation qui fait souffrir ?

Valérie : Comment se détacher d'un homme pour qui on a des sentiments, mais dont la relation fait souffrir, sûrement jalouse, manque de confiance en soi, mais je ne ressens pas l'amour de l'autre ?

Hélène : Oui, alors là, on voit effectivement que Lilou a fait déjà une rencontre et qu'elle ne se sent pas confiante dans la rencontre.
Donc, on est un petit peu plus loin.
Avant de penser à se détacher de cette relation, il faut se dire : « Déjà, la relation m'apprend des choses sur moi, sur où j'en suis et comment je me comporte. »
Au moins, c'est une opportunité d'évoluer et de dépasser vos peurs.

Donc, le problème, il vient plus probablement de vos propres peurs que de cet homme en particulier.
C'est peut-être par là qu'il faut commencer, sinon, vous risquez de reproduire la même chose.

Vous pouvez vous en détacher et essayer avec quelqu'un d'autre, mais vous risquez de retomber sur la même chose.
Si ça vient de vous, ça ne va pas changer avec la personne qui est en face.

Comment trouver sa place dans la vie de l'autre ?

Valérie : Sylvie, elle a 65 ans, elle dit : « Bonjour, j'ai discuté avec un homme avec qui ça a bien fonctionné. Il est veuf, a vécu 45 ans avec sa femme, qui était son premier et seul amour. Il vit toujours dans leur maison. Comment puis-je trouver ma place au milieu de leurs affaires, de leurs souvenirs ? Je ne suis pas certaine d'en être capable. »

Hélène : C'est pareil.
C'est normal qu'il y ait un bagage, etc., s'il a vécu avec la même personne toute sa vie.
Oui, ça peut paraître lourd pour Sylvie, mais il ne faut pas le juger trop vite.
Chaque personne est différente.
Si vous êtes la première personne à entrer dans sa vie depuis son veuvage, le plus probable, c'est qu'il n'a même pas pensé à revoir sa déco ou quoi que ce soit. Il n'a pas encore éprouvé le besoin ou peut-être le courage d'adapter son environnement.

Peut-être qu'il n'attendait que vous pour le faire.
Première chose, vous n'êtes pas obligée de vous installer tout de suite avec lui.

Valérie : Peut-être en discuter aussi.

Hélène : De toute façon, effectivement, vous pouvez le dire avec amour, avec douceur, mais vous lui faites comprendre que vous êtes une nouvelle personne et vous n'allez pas pouvoir rentrer directement dans les chaussures de son ex-femme décédée.
Ça ne va pas être possible.
Je pense qu'il peut parfaitement le comprendre s'il est vraiment intéressé par vous.

Vous êtes une nouvelle personne, donc c'est une nouvelle histoire et c'est surtout sa réaction qui va vous dire s'il est prêt.
On ne peut pas le savoir, là, juste comme ça, avec ce que vous nous dites.
Si, effectivement, il se raccroche à ses souvenirs, qu'il ne veut rien changer, là, vous comprenez qu'il n'y a pas de place, tout simplement.
Ça ne fait pas de lui un mauvais homme, c'est juste qu'il n'est pas prêt.

Valérie : Peut-être qu'il faut envisager une autre relation, c'est-à-dire qu'elle reste chez elle.

Hélène : Oui, voilà.

Valérie : Il y a plusieurs possibilités aussi.

Hélène : En tout cas, il faut lui laisser le temps de se poser la question.
En revanche, s'il prend en compte ce que vous dites et qu'il adapte, même si ça lui prend un peu de temps, qu'il dit : « Ah oui, c'est difficile », ou même s'il vous demande de l'aider, ça peut aussi être le cas, dans ce cas-là, il vous montre qu'il est prêt à changer quelque chose pour vous.
Donc, il est prêt à faire une place pour une nouvelle histoire.

Faut-il laisser tomber un amour naissant à cause d'un passé trop présent ?

Valérie : Corinne, c'est une femme, elle a 55 ans : « Faut-il laisser tomber un amour naissant à cause d'une ex-femme un peu envahissante parce qu'il y a des enfants et des petits-enfants ? »
Visiblement, une ex-femme très présente.

Hélène : Oui, c'est amusant parce qu'on reboucle sur venir léger avec son bagage.
Effectivement, vous arrivez dans une situation où le bagage est encore présent.
Voilà, c'est ça.
Là encore, l'idée, ce n'est pas de laisser tomber tout de suite.

En plus, c'est un classique.
Quand vous n'étiez pas rentré dans le décor, il y avait toute la place pour que l'ex-femme continue à prendre beaucoup de place, etc.
Maintenant que vous êtes là, c'est humain, ce n'est même pas quelque chose de mauvais, c'est juste normal.
Peut-être qu'elle teste un petit peu pour voir si elle a toujours autant de place.
C'est peut-être ça qui vous paraît pesant.

En fait, ce test, il est davantage pour lui que pour vous.
C'est pour voir un petit peu comment il va rééquilibrer les choses dans sa vie.

De votre côté, ce que je vous conseillerai, c'est de ne pas vous impliquer tant que ça.
Vous gardez une saine distance avec la situation.
Mais, vous lui laissez le temps, à lui aussi, de se repositionner et de se rendre compte qu'il va falloir fixer de nouvelles limites avec son ex-femme.
J'imagine que les enfants sont quand même assez grands pour le comprendre.
En aucun cas, c'est une raison pour l'empêcher de refaire sa vie.
Peut-être qu'ils peuvent plus ou moins bien réagir, au début.

Vous verrez tout à l'heure, Laure et Patrick vont nous parler de la suite et comment les enfants réagissent.
Forcément, ils peuvent être un peu surpris, puisqu'ils n'étaient pas préparés à ce que la situation change.
Mais, normalement, ils vous aiment, ils aiment leur papa.
À un moment donné, ils vont trouver que c'était normal qu'il rencontre quelqu'un.

Donc, ce n'est pas votre responsabilité, c'est la sienne.
Mais, vous pouvez lui suggérer que maintenant que vous êtes là, il va quand même falloir faire une place.
Puis, vous abordez ce sujet avec recul, vous mettez un peu d'humour, ne mettez pas trop d'enjeux là-dedans.
Vous allez bien voir comment il…

Valérie : Il réagit.

Hélène : Faites-lui un peu confiance, peut-être pour trouver la solution.

Ce qu'il faut retenir

Valérie : On va récapituler pour cette partie : faire la bonne rencontre, faire le bon choix.
Quelque trois points à retenir.

Hélène : Oui, alors déjà, montrez-vous comme vous êtes dans la vraie vie, c'est-à-dire authentique et charmant ou charmante parce que oui, vous l'êtes.
Forcément, il y a quelqu'un qui va vous voir comme ça.

Osez aller rapidement à la vraie rencontre.
Il n'y a rien qui vaut le concret pour changer vos croyances, pour changer l'idée que vous vous faites d'une relation.

Valérie : Et sans se mettre la pression.

Hélène : Sans se mettre la pression, en étant curieux, en étant ouvert d'esprit, en ne se mettant pas d'enjeu sur le résultat immédiat.
Ça viendra, ne vous inquiétez pas.

Le troisième conseil, c'est de prendre votre temps pour vous découvrir.
Surtout, amusez-vous et tout le reste va venir assez naturellement.

Valérie : Parce que la peur empêche l'action.

Hélène : Oui, la peur vous paralyse et vous empêche d'agir, effectivement, ou vous fait reculer au moment où il n'y a pas vraiment de raison.

Valérie : Parce que, quel est le risque finalement ?
C'est de rencontrer quelqu'un.

Hélène : Vous n'avez pas vraiment de risque, si ce n'est celui de trouver une belle personne et de créer plus d'amour et de joie dans votre vie.

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