Transcript de la vidéoPasser chaque étape pour faire une belle rencontre, faire confiance à l'autre pour enclencher une relation
Valérie : Alors la seconde partie, ce sont les étapes pour faire une belle rencontre.
On continue sur la confiance pour enclencher une relation, les premiers pas, les premiers échanges au premier rendez-vous.
Comment lancer une discussion
Là, on a reçu beaucoup, de questions en amont, donc je les pose.
Kate : « Comment lancer une discussion dès que l'on partage un coup de cœur ? »
Jean-François, 59 ans : « Je n'arrive pas à bien écrire le texte pour une première rencontre ou une invitation, j'ai besoin de conseils. Pourquoi toutes les femmes ne répondent pas ou même celles pour le like, celles qu'on like ne répondent plus ? »
Eric, 57 ans : « Comment se fait-il que beaucoup de personnes ne répondent pas aux messages envoyés ? »
Isabelle : « Pourquoi les messieurs n'envoient pas de messages ou ne répondent pas aux messages ? »
Valérie : Donc, on voit que des deux côtés, c'est comme ça que ça se passe.
Hélène : Donc déjà, voilà, vous voyez, vous n'êtes pas seul et ce n'est pas une question d'être un homme ou une femme.
C'est vrai que c'est très frustrant d'envoyer des messages, et pas avoir de réponses.
Rappelez-vous qu'à ce stade, vous n'avez pas assez d'éléments pour juger ce qui se passe de l'autre côté.
Vous avez peut-être un profil qui n'est pas très actif.
Vous avez peut-être une personne qui est occupée à faire autre chose.
Peut-être que c'est quelqu'un qui a rencontré déjà quelqu'un mais qui ne s'est pas désabonné.
Peut-être que le profil ne lui correspond pas et c'est OK.
Vous n'allez pas plaire à tout le monde, ce n'est pas grave, ça ne met rien en question le fait que vous puissiez plaire tout court.
Valérie : Ce qu'il faut expliquer que dans le virtuel, ça va très vite, on clique, on like, on élimine.
C'est brutal, mais c'est aussi la règle de ce type d'exercice.
Hélène : C'est surtout que là, on est encore au début.
Avec les likes, on n'a pas en même temps encore commencé vraiment une conversation, donc on est plus ou moins motivé.
Et il faut vous dire que, peut-être, notamment du côté des femmes.
Valérie : Elles ont beaucoup de messages.
Hélène : Donc à un moment donné, essayez de ne pas y passer trop de temps.
Elles ne vont pas pouvoir répondre à tout le monde.
Donc bon, elles vont choisir.
Et puis vous aussi, de votre côté, vous n'allez pas, vous allez vous rendre compte assez vite que vous ne pourrez pas répondre à tout.
Valérie : Puis parfois, il y a des attentes qui ne sont pas forcément réalistes.
Hélène : Oui, disons que pour passer les étapes sur le site en confiance, il faut avoir des attentes réalistes à chaque étape.
Donc là, au niveau des likes, vous saurez que vous n'aurez pas de réponse tout le temps.
Ensuite, vous commencez une conversation.
Vous savez qu'à un moment donné, vous risquez de perdre quand même la personne parce que c'est assez fragile encore, vous connaissez ?
C'est juste des conversations. Vous commencez des conversations avec des inconnus.C'est un peu pareil que dans la vraie vie.
Vous allez dans un bar. Vous avez peut-être discuté avec quelqu'un pendant cinq minutes. Ce n'est pas sûr que vous continuiez à lui parler après la soirée, que vous ayez échangé vos numéros de téléphone ou quoi que ce soit.
C'est un peu pareil finalement, il n'y a pas une énorme différence.
Moi, j'appelle ça de la perte en ligne.
Effectivement, c'est comme un entonnoir.
Vous aurez beaucoup de likes, un peu moins de conversations et un peu moins de rendez-vous.
Donc, c'est ce processus et il faut avoir une attente réaliste à chaque fois, c'est dire : « OK, je sais que je vais en perdre, la chance est de mon côté », parce que parmi toutes ces conversations, il y en a qui vont aboutir et qui vont aboutir aussi à des rencontres. Et pourquoi j'aurais parlé à cette personne et ça aurait accroché à tel jour ou à telle heure ?
C'est là que la chance intervient.
Vous n'inquiétez pas, la chance, elle est quand même là.
C'est romantique parce qu'à la fin, ça marche et ça fait des belles histoires.
Ce n'est pas le début, forcément qui va être…
Valérie : Oui, ça peut prendre du temps.
Comment est-ce qu'on reconnaît la bonne personne ?
Hélène : Alors bon, moi, je trouve que la bonne personne, on ne peut pas la reconnaître.
Ce qui est sûr, c'est dans les attentes irréalistes.
C'est impossible de reconnaître la bonne personne sur la base de son profil uniquement.
De toute façon, il faudra évidemment passer par une rencontre en vrai.
Sinon, vous n'êtes pas en train de vous intéresser à une personne.
Vous êtes en train de vous intéresser à votre rêve de la personne idéale que vous avez plaquée sur un profil.
Avec des petites cases à cocher
La bonne personne pour moi, ce n'est pas… Valérie, maintenant, tu sais ce que je pense de l'âme sœur et de l'unique et de l'homme de sa vie, etc.
C'est par la construction de la relation.
Vous le saurez quand vous aurez passé beaucoup de temps avec cette personne. Que vous aurez construit ensemble.
Et là, oui, la personne vous paraîtra unique par le temps et les expériences que vous aurez faites ensemble.
Comment entrer en relation
Albert,79 ans : « Bonjour, comment procéder pour entrer en relation avec une candidate et la rencontrer ? »
Valérie : Une candidate.
Hélène : Oui. Pourquoi pas ?
Si ça lui permet de garder un peu de recul sur sa recherche, il peut dire : « Oui, j'ai des candidats, des candidates. »
Moi, j'aime bien parler, des fois, c'est comme un casting finalement.
On ne met pas trop d'enjeux.
On ne sait pas encore qui va être choisi dans notre casting.
Valérie : Alors comment on entre en relation ? Qu'est-ce qu'on écrit ?
Hélène : Mais comme je disais tout à l'heure, il faut faire quelque chose de plus personnalisé.
Vraiment, elle va vous montrer que vous intéressez à la personne, que vous avez lu le profil.
Essayez d'être un peu original, de montrer un peu de vous en fait.
Ce qui va accrocher, c'est de voir que vous n'êtes pas une fiche parmi d'autres, mais que vous êtes une vraie personne, avec une personnalité, avec une façon de voir les choses, etc.
Valérie : Par exemple : « Bonjour, je suis Albert, j'ai 79 ans, je suis divorcé, j'habite à de tel endroit. »
Comment gérer les premier échanges
Sandrine, 50 ans : « comment gérer les premiers échanges et à quel moment on accepte de donner son numéro de téléphone ? »
Valérie : C'est la grande question aussi à partir de quand on passe au téléphone ?
Nathalie, 52 ans : « Lors d'un premier contact, y a-t-il des questions spécifiques à poser qui pourraient nous en apprendre beaucoup sur lui ? »
Martine, 70 ans : « Quelle conversation lors d'une première rencontre ? »
Hélène : Là, on voit qu'on cherche des règles qui marcheraient à tous les coups.
Chaque histoire est différente, donc il n'y a pas de règles en soi.
C'est là où il faut vous écouter un peu.
Vous dites : « OK, à quel moment je peux, je me sens en confiance pour donner mon numéro de téléphone ? »
Je n'ai pas besoin d'avoir toute la fiche signalétique de la personne.
Si je vois que je suis à l'aise dans la conversation, que cette personne a l'air normal, moi, ça me suffit pour me dire : « OK, je peux lui donner mon numéro de téléphone. Il ne va pas me harceler », la plupart du temps vous tombez sur des personnes normales. Et je me sens suffisamment en confiance pour aller boire un café à l'extérieur avec lui par exemple.
Je ne prends pas un énorme risque.
Et évidemment, quand je serai dans la vraie vie, là, je vais en apprendre beaucoup plus qu'avec quelques questions.
Dans les questions, on sait qu'on tombe facilement dans, alors, quelles sont les bonnes questions ?
Moi, je trouve que le mieux, c'est de ne pas poser 15 000 questions surtout.
C'est plutôt essayer d'avoir un échange agréable et un échange agréable, ça va être plutôt de dire quelque chose de vous et de poser la question : « Et toi ? »
Et d'aller petit à petit.
Pas de vouloir poser un questionnaire en mode entretien d'embauche.
C'est un casting, pas un entretien d'embauche.
Valérie : Et à l'inverse, ne pas dérouler sa vie de A à Z.
Hélène : Voilà. Dans le but de gagner du temps, on a souvent dans les profils, j'en ai pas parlé de cela, mais dans les textes, on peut avoir l'erreur aussi inverse de dire : « Je vais gagner du temps, je vais tout dire. Voilà ce que je faisais comme métier. Voilà mes loisirs, voilà ce que je recherche. »
Bon, du coup, on n'a plus rien à dire.
Quel est le bon moment pour se voir en vrai ?
Sylvie, elle, a 54 ans, elle dit : « Bonsoir ! Pensez-vous qu'il faille se voir rapidement après le premier contact téléphonique ? Je discute depuis un mois avec un homme. Pour l'instant, aucun d'entre nous n'a osé demander de se voir. »
Valérie : On a vu dans des précédents couples qui étaient venus, qu'ils s'étaient vus assez rapidement.
Finalement, après le premier coup de fil.
Hélène : Oui, c'est ça le problème.
Je trouve que c'est mieux quand même de ne pas attendre trop longtemps.
Pourquoi ?
Parce que pendant ce temps-là, vous projetez, vous imaginez des choses sur la personne.
Valérie : C'est une relation virtuelle.
Hélène : Oui, puis vous imaginez des choses et vous allez forcément voir un décalage avec la vraie personne.
Donc, c'est toujours mieux de ne pas trop imaginer et de plutôt aller voir.
Donc n'attendez pas trop.
Et oui, le problème, c'est surtout comment on va faire pour oser le dire ?
Donc là, vous dites bon, ça commence à faire long avant de se rencontrer.
Vous êtes une femme, oui, vous savez quoi ?
Vous avez le droit vous aussi de dire : « ça serait bien qu'on se voit. »
N'attendez pas que ça soit forcément l'autre qui le fasse.
Oui, vous allez devoir oser et prendre un risque.
Donner son intention de recherche
Marie-Josée : « Comment faut-il faire pour faire comprendre au début amitié et plus si affinité ? »
Hélène : Alors là, ça veut dire qu'on veut poser une limite.
Moi, je ne vais pas être trop rapide.
Et bien oui, c'est simple, vous allez le dire.
Donc c'est important de donner, je trouve que c'est aussi important de donner rapidement son intention de recherche.
Parce que c'est vrai que sur les sites, après tout, on a le droit de dire qu'on veut une relation sérieuse ou pas.
On n'est pas là pour juger, si vous cherchez une relation sérieuse, vous le dites et vous pouvez dire, de toute façon, je ne suis pas très rapide, j'aime bien qu'on prenne le temps de se connaître, etc.
En revanche, ce qui va motiver la personne à vous attendre, c'est de lui montrer quand même qu'il va avoir sa chance.
Valérie : De l'intérêt, oui, bien sûr.
Hélène : Qu'il vous plaît.
C'est vraiment ça ce jeu du flirt, de dire : « Tu me plais, je te plais. »
Valérie : « J'ai besoin d'un peu de temps. »
Hélène : « Voilà, mais ça ne va pas suffire pour que je te valide. » « Je veux qu'on prenne le temps de tourner autour du pot et de se découvrir. »
Finalement, c'est quand même la meilleure période.
Valérie : Il n'y a pas forcément de règles.
Hélène : Voilà, c'est ça.
On n'est pas obligé de prendre du temps.
Mais, c'est vraiment comme vous vous le sentez et le plus important, c'est de commencer par vous.
Mais, on peut dire :« Moi, je préfère fonctionner comme ça. »
Donc, je vais le dire parce que l'autre personne peut être différente de moi.
Le ghosting
Valérie : Alors, on a la question du ghosting, c'est-à-dire quand on ne vous répond pas.
- Oui, le ghosting, c'est quand on a commencé un dialogue.
Et puis la personne disparaît sans aucune explication.
Ça fait fantôme.
Alors, c'est vrai que c'est toujours un petit peu… Par rapport à tout à l'heure, quand on a des likes et qu'on n'a pas de réponse, il n'y a pas encore eu de dialogue. Ce n'est vraiment pas la peine de le prendre très personnellement.
Là, c'est un petit peu plus agaçant et frustrant.
On se dit : je ne comprends pas. On avait eu un dialogue intéressant puis tout d'un coup, la personne disparaît.
Mais, malgré tout, à ce stade, vous êtes encore dans l'échange virtuel ou peut-être que vous l'avez rencontré une ou deux fois.
Mais ce n'est pas facile de dire à la personne, j'ai pas envie d'aller plus loin.
Ou peut-être, j'ai rencontré quelqu'un d'autre ou, je ne sais pas.
Valérie : On peut se sentir totalement démoralisé quand on se retrouve dans cette situation, de dire, je remonte sur mon vélo comme vous disiez tout à l'heure.
Je repars sur une relation.
Je vais encore voir un échec, c'est parfois difficile.
Hélène : Il faut vous dire que cette décision d'arrêter de parler, elle vient de l'autre personne.
Ça ne dit rien de vous, et de votre valeur, ça veut juste dire que l'autre personne, ce n'est pas très cool.
C'est sûr qu'il aurait pu avoir le courage de dire non.
Valérie : C'est forcément quelqu'un de bien.
Hélène Mais voilà, vous dites en même temps, plus de réponses, c'est aussi une réponse.
Donc cette personne n'était pas juste pour moi.
C'est la seule conclusion à laquelle je vais m'arrêter.
Ça ne dit rien de ce qui va se passer par la suite.
Oser le jeu du flirt
Amanda a 65 ans : « Comment orienter l'autre à nous surprendre pour attirer et nous donner envie de le connaître et non de poser des questions ? »
Hélène : On revient sur cette histoire de jeu du flirt.
Alors c'est bien, on a bien vu, vous avez compris l'importance du jeu du flirt pour créer de l'attirance.
Mais, qu'est-ce qui vous empêche si vous trouvez qu'il n'y a pas assez de jeux.
Plutôt que de dire comment je vais faire pour m'arranger, pour que ce soit l'autre personne qui fasse, commencez, vous le jeu puis vous verrez bien si la personne suit.
Comment faire comprendre à quelqu'un qu'il/elle nous plait ?
Lionel, il a 58 ans : « Quand on est sincère et authentique, émotionnellement attiré par quelqu'un, comment le lui faire ressentir positivement ? »
Hélène : Finalement, la meilleure façon d'avancer dans une relation, c'est de, vous commencez par prendre un risque.
Dites les choses.
Dites-lui au moins qu'elle vous attire.
Ce qui va être important, c'est comment elle réagit ?
Oui, bien sûr, il y a toujours un risque qu'elle vous rejette, mais au moins vous serez fixé, vous aurez gagné du temps.
Et moi, je trouve que plus que d'être déçu, le vrai, ce que vous avez, c'est de perdre du temps et de vous faire encore plus mal finalement.
Donc, prenez le risque et vous avez surtout un risque que ça fonctionne et qu'elle vous dise…
Avoir confiance en l'autre
Jennifer, 67 ans : « Comment faire confiance à un homme en sachant qu'il me ment. »
Hélène : Alors la réponse est un peu dans la question.
S'il vous ment, si vous savez qu'il vous ment, c'est un peu difficile de lui faire confiance.
Alors, je vais mettre une petite nuance.
Tout dépend de la gravité du mensonge et de sa motivation à vous mentir.
Dans tous les cas, voilà par exemple, comme on disait tout à l'heure, s'il a menti deux ou quatre ans sur son âge, ce n'est peut-être pas très grave.
En revanche, vous vous êtes rendu compte qu'il a menti. Effectivement, vous ne pouvez pas faire comme si vous n'aviez pas vu.
Donc, confrontez-le et vous voyez s'il corrige ou s'il vous explique sa motivation.
Sinon, si vous savez qu'il vous ment et qu'il continue à vous mentir quand vous le confrontez.
De toute évidence, il va peut-être falloir prendre une décision et lui dire : « Ce n'est pas la bonne relation. »
Prendre le risque de se dévoiler
Marianne, 65 ans : « Bonjour Hélène. Je ressens que mon approche reste immobile. Comment pouvoir me rapprocher d'une personne et comment pourrais-je me sentir bien aimé ? »
Hélène : Alors c'est pareil, il va falloir prendre le risque de se dévoiler.
Parce que si ça fait du sur place, ça veut dire que personne n'a osé dire que l'autre personne lui plaisait.
Donc oui, vous dites prenez l'initiative en premier, vous lui dites qu'il vous plaît d'une manière ou d'une autre, vous trouverez une façon subtile de le faire et vous voyez comment cette personne réagit.
Si ce n'est pas réciproque, rappelez-vous que ce n'est pas si grave.
Au moins vous êtes fixé.
Faire de la place à l'autre dans sa vie
Axelle : 50 ans. « Comment intégrer l'autre dans notre routine de célibataire ? »
Valérie : Ça, c'est une question sur le couple.
Est-ce qu'on doit se mettre ensemble ?
Comment on fait pour garder son indépendance ?
Hélène : Effectivement, quand on était célibataire pendant quelque temps, quelquefois on a vraiment pris goût aussi à son indépendance.
Et on a un petit peu peur de se faire envahir.
Alors ce qui va vous aider, c'est déjà la personne en elle-même.
Si elle vous plaît vraiment, ça va vous aider à faire plus de place.
Mais, c'est aussi de prendre votre temps.
Encore une fois, vous revenez à vous, vous dites : « Bon, là, je ne suis pas prête à habiter avec une nouvelle personne, mais je vais le dire, je vais l'expliquer, je vais en parler.»
Et petit à petit, ça va se faire.
Et c'est aussi une façon quelque part de faire confiance à l'autre pour accepter votre mode d'emploi.
Le prince charmant
Valérie : On a trop de questions et j'ai besoin de conseils pour trouver mon prince charmant.
Le prince charmant, mais il n'existe pas.
Hélène : Là on est sur les mythes, le prince charmant n'existe pas, mais vous avez plein d'hommes totalement imparfaits et c'est très bien comme ça.
Valérie : Oui, et de femmes imparfaites aussi.
Hélène : Aussi, exactement.
Mais ce sont des êtres humains, des vrais et c'est beaucoup plus intéressant que le prince charmant.
Ce qu'il faut retenir
Valérie : Voilà et puis écoutez-vous.
Donc rappelez en trois étapes ce qu'on vient de se dire, c'est de s'écouter, de se faire confiance. De respecter les étapes.
Hélène : Voilà, les trois points importants à retenir, c'est respectez les étapes d'une rencontre pour avancer en confiance.
Osez prendre un risque pour découvrir qui est vraiment l'autre personne.
Et rappelez-vous que la bonne personne, c'est celle qui prend le temps de construire avec vous.